[acc-cca-l] Appel à contributions « Écrire la recherche autrement : regards réflexifs et pratiques contrastées »

Arsenault, Karelle arsenault.karelle at uqam.ca
Wed Sep 9 07:25:10 MDT 2020


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Chères et chers collègues,

Sachant que le contexte actuel a rendu les horaires de toutes et tous plus chargés, nous avons décidé de prolonger l’appel à textes (ci-dessous) pour le dossier « Écrire la recherche autrement : regards réflexifs et pratiques contrastées » qui paraîtra dans la revue Communication (Université Laval).

Les personnes souhaitant soumettre une proposition d’article ont jusqu’au 2 novembre 2020 pour faire parvenir leur texte.

Bonne rentrée!


Appel à contributions pour un dossier de

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https://www.openedition.org/2083

Revue du département d’information et de communication de l’Université Laval

Écrire la recherche autrement : regards réflexifs et pratiques contrastées

VOLUME 39/1

Numéro thématique coordonné par Karelle ARSENAULT (Université du Québec à Montréal), Karine BELLERIVE (Université de Montréal) et Louis-Claude PAQUIN (Université du Québec à Montréal)

L’objectif de ce numéro thématique consiste à donner un aperçu des recherches francophones en communication dont l’écriture, la méthode ou le questionnement central se revendiquent de pratiques qui n’ont pas forcément de nom, sinon celui des écritures « créatives » ou « performatives », mais qui remettent en question ou s’attèlent à déconstruire les distinctions entre les différentes formes d’écriture instituées (scientifique, littéraire, créative).
Depuis le 17e siècle, l’écriture est, en effet, appréhendée selon deux formes distinctives, voire mutuellement exclusives : littéraire (fictionnelle, esthétique, affective) et scientifique (référentielle, neutre, rationnelle, transparente) (Meier, Merrone et Parchet, 2006; Richardson et St. Pierre, 2005). Suivant le paradigme du post-positivisme (Bonoli, 2006; Lincoln, Lynham et Guba, 2000) et estimant de la sorte représenter plus objectivement la réalité, les sciences humaines et sociales — plus particulièrement, dans le contexte qui nous concerne, les recherches en communication — ont historiquement adopté les normes de l’écriture dite « scientifique », inspirée des sciences de la nature. Selon ces normes, le texte est conçu comme « simple lieu d’amarrage des données recueillies sur le réel » (Meier, Merrone et Parchet, 2006 : 3) et est fondé sur une « neutralité présupposée, liée à un idéal d’objectivité et d’extériorité du chercheur » (Dayer, 2009) : la chercheuse ou le chercheur, par son écriture — qui se veut « neutre », « impersonnelle ») — tente ainsi de se distancier, voire de s’extraire de ce qu’elle ou de ce qu’il tente d’exprimer.
Si les positions constructivistes ont souligné le caractère construit des connaissances dès les années 1960 (Bonoli, 2006), les critères normatifs d’écriture scientifique semblent toujours prégnants dans le milieu de la recherche, leur respect témoignant pour plusieurs de la validité scientifique des travaux (Lather, 1993). « L’importance des procédures, des règles, de l’impératif de l’utile, du quantifiable, de l’empirisme et de la raison instrumentale structurent [ainsi] profondément la production de la pensée légitime. » (Spurk, 2006 : 129) L’opposition entre écriture « créative » et « scientifique » persiste donc, tout comme l’idée que ces écritures ne peuvent coexister dans une démarche valable (Charmillot, Cifali et Dayer, 2006; Sawchuk et Chapman, 2012). Le regard que l’on pose sur les recherches qui mobilisent des formes d’écriture que nous pourrions qualifier de « transgressives » pour le milieu, bien que les réflexions sur ces formes ne datent pas d’hier (Clifford et Marcus, 1986; Geertz, 1973; Richardson, 1994), est au fond celui que l’on posait sur les recherches qualitatives dans les années 1980 : mais est-ce vraiment de la recherche? Chenail rappelait d’ailleurs qu’au début de sa carrière, ses collègues qualitativistes et lui devaient continuellement justifier la légitimité de leurs « epistemologies, theorical foundations, methodologies [and] procedures » (2008 : 7).
Cela dit, les approches postqualitatives (Lather et St. Pierre, 2013), postructuralistes (Lather, 1993), postmodernes (Fortin et Houssa, 2012), mais aussi performatives (Madison et Hamera, 2006), notamment, sont venues plaider pour la reconnaissance de différentes formes de production et d’expression des savoirs. On peut penser aux écrits de Donna Haraway, Carolyn Ellis, Norman Denzin, Julia Colyar, Hanna Ellen Guttorm, Laurel Richardson, Elizabeth St. Pierre et Patricia Leavy, par exemple. En sciences humaines et sociales toutefois, les travaux faisant appel à une écriture qui remet en question les critères normatifs de scientificité apparaissent davantage issus de la littérature anglo-saxonne — du moins jouissent-ils dans ce milieu d’une plus grande visibilité, d’un rayonnement plus important — et les réflexions théoriques sur le sujet ne semblent par ailleurs que très rarement provenir des études en communication.
Ce numéro thématique souhaite ainsi explorer les possibilités de réfléchir aux normes d’écriture afin de montrer comment les études en communication peuvent s’approprier des pratiques généralement cantonnées aux études littéraires ainsi qu’aux disciplines artistiques et, de fait, revendiquer une posture plus créative en recherche. L’appel se veut ouvert à des travaux empiriques autant qu’à des réflexions théoriques et propose, en ce sens, deux axes pour guider les autrices et auteurs : celles d’ordres épistémologique, théorique, éthique et politique, et celles d’ordre empirique et méthodologique.
1) Réflexions d’ordres épistémologique, théorique, éthique, politique
Le premier axe, d’inspiration foucaldienne (Foucault, 1976), renvoie aux questionnements et aux intentions qui sous-tendent l’adoption de pratiques d’écriture transgressives ou subversives par rapport aux contraintes normatives de l’écriture scientifique en communication. L’idée consiste notamment à montrer comment ces pratiques constituent des formes de résistance épistémologique face à l’héritage positiviste qui teinte toujours la recherche en sciences humaines et sociales : comment elles s’inscrivent dans les rapports de pouvoir qui modulent la production de connaissances; comment elles ébranlent les « régimes de vérité » qui ont cours dans le monde social et, plus spécifiquement, dans le milieu de la recherche scientifique; comment elles négocient les impératifs de rigueur scientifique. Les autrices et auteurs sont entre autres invités à témoigner des tensions et des dilemmes qui les marquent sur le plan éthique, tant en ce qui concerne l’élaboration que la diffusion et la circulation du savoir, de même qu’à explorer les enjeux (de genre, de classes, institutionnels, disciplinaires, économiques, politiques, etc.) auxquels ils sont confrontées. La question de la responsabilité de la chercheuse ou du chercheur et celle de l’inclusion de personnes et de groupes (Alcoff, 1991-1992) dans les processus de recherche pourront, par exemple, être abordées. En bref, il s’agira de réfléchir aux savoirs « autres » que les pratiques d’écriture transgressives ou subversives par rapport aux contraintes normatives de l’écriture scientifique en communication permettent de produire, aux « devenirs » (Deleuze, 1997) qu’elles génèrent. La place est libre (ou faite) pour accueillir les regards réflexifs et les récits d’engagements.
2) Réflexions d’ordres empirique et méthodologique
Si l’écriture sert en effet à communiquer la recherche, elle se veut aussi potentiellement déterminante de ce qui surviendra lorsque son geste est posé consciemment et lorsque la personne qui écrit sait qu’elle fait par-là bien plus que simplement aligner des mots. Dans ce contexte, le second axe de ce numéro thématique souhaite mettre de l’avant les recherches et les réflexions d’ordre méthodologique en communication où l’écriture est mobilisée comme outil de création et de transformation, comme lieu d’émergence des idées. Colyar écrivait ainsi : « because writing is generative »; « because writing is a reflection of the rhetorical self »; « because writing is sense making »; « because writing is methodology » (2009 : 425, 429, 431, 432). Les articles soumis pourront par exemple présenter des résultats de recherche où l’écriture a été mobilisée pour produire des « données », où elle a structuré la méthode d’enquête ou d’analyse, où elle a servi d’outil de recherche. Ils pourront également examiner l’écriture en elle-même ou proposer des formes variées de texte de recherche, « non conventionnelles » : des récits autobiographiques, personnels, à la première personne, des récits coconstruits, polyvocaux, des récits de pratique, performatifs, des écrits de fiction, etc. Il s’agira ici d’observer ce qu’apporte la représentation performative lorsqu’elle s’oppose à la monstration; de s’interroger sur ce que dit l’écriture, sur ce qu’elle fait ou peut faire, autrement dit sur ce qui advient lorsque les normes de la scientificité sont déconstruites ou remises en question par l’écriture; de voir si le flou est forcément mauvais, si la subjectivité doit nécessairement s’effacer. La porte des expérimentations créatives est ici grande ouverte.

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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Steier, Frederick (1991), Inquiries in Social Construction. Research and Reflexivity, Thousand Oaks, Sage Publications.

Soumission d’une proposition d’article
Les propositions d’article doivent compter entre 1 200 à 1 500 mots (bibliographie non comprise). Elles présenteront le titre, la problématique, la méthodologie, incluant la base empirique utilisée, et les principaux résultats.

La proposition doit être anonyme. L’auteur indiquera ses nom, institution d’appartenance et coordonnées directement dans le courriel.

Merci d’envoyer vos propositions par courrier électronique aux trois coordinateurs :
arsenault.karelle at uqam.ca<mailto:arsenault.karelle at uqam.ca>
Karine.Bellerive at USherbrooke.ca<mailto:Karine.Bellerive at USherbrooke.ca>
paquin.louis-claude at uqam.ca<mailto:paquin.louis-claude at uqam.ca>

La réception de chaque proposition donnera lieu à un accusé de réception par courriel.
Calendrier
4 mai 2020                      Appel aux contributions

2 novembre 2020           Date limite d’envoi des propositions d’articles. Les propositions seront évaluées par le comité́ scientifique en regard de leur pertinence pour le dossier thématique et de leur qualité scientifique.

16 novembre 2020         Notification d’acceptation ou de refus

15 mars 2021                  Les auteurs acceptés envoient leurs articles complets directement à la revue Communication : revue.communication at com.ulaval.ca<mailto:revue.communication at com.ulaval.ca>. La longueur de l’article final, si la proposition est retenue, sera de 40 000 à 60 000 signes, espaces non comprises (ceci inclut les notes mais exclut la bibliographie). Prière d’appliquer les consignes rédactionnelles de la revue http://journals.openedition.org/communication/6159
Chaque article sera évalué en double aveugle par un comité de lecture indépendant. Le comité de coordination en consultation avec l’équipe éditoriale de la revue Communication décidera, à la lumière des évaluations, de l’acceptation en l’état, de la demande de modifications ou du rejet.

7 juin 2021                     Retour aux auteurs sur l’article

13 septembre 2021         Remise de la nouvelle version de l’article directement à la revue Communication : revue.communication at com.ulaval.ca<mailto:revue.communication at com.ulaval.ca>. Le comité de coordination vérifiera si les modifications apportées répondent aux recommandations du comité de lecture indépendant.

27 septembre 2021         Retour aux auteurs sur la nouvelle version

Automne 2021                Révision linguistique et retour aux auteurs pour validation et autorisation à publier.

Hiver 2022                      Publication
Comité scientifique
Dany BAILLARGEON (Université de Sherbrooke), Thierry BARDINI (Université de Montréal), Anouk BÉLANGER (Université du Québec à Montréal), Owen CHAPMAN (Université Concordia), Line GRENIER (Université de Montréal), Véronique LEDUC (Université du Québec à Montréal), Isabelle MAHY (Université du Québec à Montréal), Katharina NIEMEYER (Université du Québec à Montréal).

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